Le rétablissement est un processus dynamique en vue d’atteindre un bien-être exempt de stigmatisation et de discrimination et propre à la personne, à ses forces, à ses cultures et à ses expériences. La collaboration entre des services de plusieurs niveaux, dont les communautés, les secteurs et les systèmes, favorise le rétablissement. Il ne se limite pas à la personne, mais concerne aussi la famille, les pairs et les milieux de travail. Le rétablissement est multidimensionnel et met en jeu tous les aspects de la santé physique, sociale, mentale, émotionnelle et spirituelle.
Continuum de bien-être psychologique et affectif sur lequel peut se situer une personne de temps à autre sans forcément être atteinte d’une maladie mentale. L’Organisation mondiale de la Santé définit la santé mentale comme un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
« Les approches tenant compte des traumatismes et de la violence sont des politiques et des pratiques qui reconnaissent les liens entre les traumatismes, la violence et leurs répercussions négatives sur la santé et les comportements. Ces approches sont favorables à la sécurité, au contrôle et à la résilience pour les personnes à la recherche de services liés à des expériences de violence ou qui ont des antécédents de telles expériences. » (gouvernement du Canada, 2018; consulté sur le site : https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/securite-et-risque-pour-sante/approches-traumatismes-violence-politiques-pratiques.html)
Personnes ou groupes qui composent des réseaux sociaux, aînés autochtones, systèmes communautaires et tous ceux et celles qui jouent un rôle important dans le passé, le présent ou l’avenir de la personne, et pouvant ou bien lui apporter du soutien ou nuire à ses objectifs de bien-être.